So... She wonders "how others spent their weekend ?"... Let me tell you : "You don't want to know how I spent my weekend"... Erm... What a catch phrase ! Got you there ! OK... Let me tell you how I spent my weekend :
Day 1 - Friday : Friday isn't a day off. So it's not really the weekend. On friday evening, I was supposed to go to a gig with one of my friend... She was supposed to come from Belgium. She didn't and I felt really tired on friday evening... So I didn't go to that gig and, instead, put a lovely Bettie Page's banner and a lovely bear on my Journal. I then talked a bit with my Lady (The One, my Love) and went to bed early.
Day 2 - Saturday : I woke up at 8:00 AM... Daydreamed... Read a little... And published "HISTOIRE DE VEAU - Episode 5" on my journal. I went to the public library with my Lady. We spent an hour there (Books fascinate me ! They're so sexy !)... Then we've done some shopping (Food mostly). Back home... Took a "nap" (Well... It wasn't really a nap since none of us was sleeping... You know... Erm... Ouch ! Does this appeal to your "Voyeur" side ?). We finally spent a nice evening watching TV, Star Trek Episodes... I surfed on the Internet and went to bed rather late (2:00 AM or 3:00 AM on sunday morning)... Damned Internet !
Day 3 - Sunday : I woke up at 10:00 AM and went shopping. I met the Apocalypse (At the supermarket)... I survived the Apocalypse (I'm a lucky guy)... So I felt like playing "Lord of the Ring Lottery". Of course, I won (I'm definitively a lucky guy)... In the afternoon I took the bus and the Métro (French underground... "Mind the gap !") a lot and finally managed to play cards (LotR) with friends. I walked in Saint Denis street and a whore told me that "She loves young people" (I never slept with a whore but, I don't know why, I do respect these girls a lot... Kinda love them). At home, I met my Lady... She was exhausted so we went to bed early (11:00 PM).
Rather boring, isn't it ? I told you don't want to know.
Je me souviens d'un temps (Que les moins de vingt ans peuvent difficilement connaître) où WASP, emmené par Blackie Lawless, balançait des morceaux de barbaque à la foule en beuglant "Animal (F**k like a beast)" et autres titres dissonants... Et bien cette ère est révolue et Hell On Earth nous propose un suicide live ! Elle est pas belle la vie ? Lisez plutôt cette article :
Un groupe de rock américain a annoncé lundi qu'un suicide aurait lieu sur scène lors de leur concert samedi dans une ville de Floride, et ce malgré une loi votée en urgence par la municipalité pour empêcher un tel acte.
Le groupe de hard-rock "Hell on Earth" (L'enfer sur terre, ndlr) a prévenu qu'une personne malade en phase terminale se suiciderait sur scène lors de leur concert samedi à St.Petersbourg pour sensibiliser la population à la question de l'euthanasie.
Lundi, le conseil municipal de St.Petersbourg a approuvé à l'unanimité un décret d'urgence mettant hors-la-loi le suicide à des fins commerciales ou distrayantes. La loi interdit également d'accueillir, de faire la publicité ou de vendre des tickets pour un tel événement.
"Même si je pense qu'il s'agit d'un truc publicitaire, nous ne pouvions pas rester sans rien faire et laisser quelqu'un se tuer", a expliqué le conseiller Bill Foster. Le tribunal de la ville a de son côté interdit au groupe de promouvoir le concert et d'autoriser le suicide. Une audience est prévue jeudi.
Mais le leader du groupe, Billy Tourtelot, a refusé d'annuler. "Le concert aura lieu", a-t-il affirmé. Il a ensuite expliqué que le "show" se déroulerait devant "quelques personnes choisies" dans un lieu tenu secret et serait retransmis en direct sur le site Internet du groupe. Il n'a fourni aucun détail sur la personne devant se suicider sur scène.
"Hell on Earth" avait d'abord annoncé que le concert aurait lieu au Théâtre d'Etat de St.Petersbourg, mais le propriétaire de la salle a annulé le show en apprenant la nouvelle, tout comme un de ses confrères de la ville. La police réfléchissait quant à elle à la conduite à observer.
Billy Tourtelot a expliqué que le groupe tentait de faire légaliser le suicide médicalement assisté en Floride. "Si on peut mourir pour son pays, alors pourquoi ne peut-on pas mourir pour soi-même", a-t-il ajouté.
Originaire de St. Petersbourg, "Hell on Earth" s'est déjà fait remarquer pour ses prestations scéniques au cours desquelles les membres du groupe luttent enduits de chocolat ou broient des rats vivants à l'aide d'un mixer.
Et voilà, moi aussi (L'emmerdement aidant), je me mets à lire la presse online et à recracher tout ça sur mon journal... Je finirai très certainement par scotcher des articles de presse sur mon écran... Triste destin ! En attendant : "METAL UP YOUR HEADZZZZZ !" comme dirait l'autre. Le rat au mixer, ça le fait (Appelez la SPA !)...
Le saviez-vous ? Je suis lu au Brésil ! Et oui... Bon OK, je suppose que la jeune dame s'est égarée... Qu'elle est tombée sur mon Journal par hasard mais bon... Je suis lu au Brésil ! Na ! Magie de l'Internet. Pour en savoir plus, jetez un oeil sur le Guestbook (Livre d'Or). Donc... Un truc ridicule vu sur un blog brésilien :
Ridicule, non ? Silly, isn't it (Don't worry... It came from Brazil) ?
Retour sur un post du lundi 29/09/2003 - 11h54. La gravure "La jeune fille et la mort" est bien signée Edward Munch :
"Edvard Munch a achevé cette gravure en pointe-sèche en 1894, un an après la conception originale, exécutée à l'huile. La Mort est un squelette; plus aucune chair ne le recouvre. Dans cette oeuvre, Munch ne se conforme pas aux représentations traditionnelles. Au début de la Renaissance, la Mort était souvent représentée sexuellement agressive; ici, Munch suggère une victoire de l'Amour sur la Mort: sa jeune fille n'est pas dominée, mais étreint elle-même passionnément la Mort".
Je remercie (Publiquement) Miss Besch (Mon Amour, my Lady) pour ce lien (En VF et en English Version).
Comme diraient les Beatles... "I read the news today... Oh ! Boy !" :
LA "PARTOUZE" DE LA DISCORDE
Le marathon du sexe qui s'est déroulé du 16 au 18 septembre dans un palace cinq étoiles de Zhuhai, dans la province méridionale du Guangdong, en Chine, n'a pas fait que des heureux. Le gouvernement chinois a demandé au Japon d'apprendre à ses ressortissants à mieux se comporter et a qualifié "d'extrêmement odieux" la "partouze".
Circonstance aggravante, la "partouze" géante s'est achevée le jour du 72ème anniversaire de l'invasion de la Chine par le Japon, en 1931, un passé qui continue d'opposer les deux grands pays d'extrême-orient, plus d'un demi-siècle après la fin de la guerre.
L'incident a déclenché la fureur des médias officiels chinois et l'indignation des internautes sur un épisode de luxure à grande échelle dans un pays où la prostitution est interdite par la loi.
L'hôtel a depuis été fermé temporairement et une enquête a été ouverte.
Plusieurs personnes ont déjà été arrêtées et la police a lancé une opération "ville propre" dans des lieux de plaisirs qui attiraient jusque là des touristes venus de toute la région.
La presse abonde de récits où transparaissent des sentiments anti-japonais de la part de Chinois qui se disent persuadés que la date de l'orgie avait été spécialement choisie pour humilier la Chine en raison de sa connotation historique.
Selon des témoins cités par les journaux, les touristes, quelque 400 Japonais de 16 à 37 ans, ne se sont pas cachés d'être venus à Zhuhai dans un but précis. Le Zhuhai International Convention Center Hotel était plein d'hommes tripotant sans vergogne les prostituées dans les ascenseurs et couloirs.
Les portes auraient été laissées ouvertes et l'on pouvait voir, et entendre, jusqu'à trois à quatre filles par chambre s'occuper des clients.
Les médias ont expliqué que le service commercial de l'hôtel avait organisé la tournée et que la patronne de la boite de nuit de l'établissement avait trouvé les filles dans les nombreux clubs, bars à karaoke et autres endroits chauds de Zhuhai où des milliers de policiers ont fait des descentes ce week-end.
Mais l'incident a aussi rappelé que les relations entre la Chine et le Japon restaient sensibles en raison du passé. Plus de 65.000 messages ont été adressés lundi sur le seul site chinois Sohu.com pour dénoncer une atteinte à l'honneur national, et certains internautes ont appelé au boycottage des produits japonais.
Des interviews avec les responsables de l'hôtel suggèrent cependant que la date de l'orgie était une pure coincidence car ce n'était pas la première fois que du tourisme sexuel y était organisé pour des Japonais.
Si le Japon est aujourd'hui le plus grand partenaire commercial de la Chine, le souvenir des atrocités commises par son armée impériale en Chine dans les années 1930-40, dont des viols et l'esclavage sexuel de Chinoises, reste vif.
Mais la réaction chinoise n'est pas exempte d'hypocrisie. Le ton scandalisé des autorités ne doit pas faire oublier que les villes du sud de la Chine se sont bâties une réputation solide chez les amateurs de parties fines venus du reste du pays, de Taiwan ou de Hong Kong.
J'aime sentir les cheveux de Miss Besch. Est-ce un moment, une action érotique ? Peut-être... Je les ai sentis hier matin, hier soir, ce matin... It makes me feel horny (Cela fait beaucoup moins sale, moins pervers, en anglais qu'en français... Don't you think ?). Ma vie se résume à peu de choses. J'ai, ce matin, pensé à Iggy Pop, aux Stooges : il paraît (Dixit Géant Vert in Rock et Folk) que le dernier album de l'iguane (Skull Ring) est superbe. Cet album sort demain. J'ai aussi pensé à LotR, mon obession du moment (Promis, le week-end prochain, j'arrête). Je devrais penser à... Pause : je viens de recevoir mon bulletin de salaire (Merci Madame la secrétaire)... Dormir.
J'aime les cheveux (Ceux que je n'ai pas).
ENGLISH VERSION (English isn't my mother tongue. If you see any mistake, please... Mail me !) :
I love to smell Miss Besch's hair. Is that an erotic moment, an erotic action ? Maybe... I smelled them yesterday morning, yesterday evening, this morning... Cela m'excite (It seems less dirty, less perverse, in French than in English... Ne pensez-vous pas ?). My life can be easily sum-up. This morning, I thought of Iggy Pop, of the Stooges : it's said (According to Géant Vert in Rock and Folk - A French magazine - last issue) that the Iguana's last record (Skull Ring) is fabulous. This record will be released tomorrow. I also thought about LotR, my current obsession (I swear I'll stop this week-end). I should think about... Stop : I've just received my "wage's paper" (Thank you Miss Secretary)... Sleep.
"Les enfants sont formidables" (Décidément... J'adore cette phrase de Jacques Martin). Ce matin au Franprix (Où je suis allé sans me laver... Pour ceux qui n'auraient pas suivi), j'ai assisté à une scène déchirante et fort bruyante. Une jeune fille (5 ans ?) en anorak rose s'est mise à crier dès que sa mère l'eut abandonnée à l'entrée du Franprix (Avec les caniches). Des cris et des pleurs déchirants ! Pire que la sonnerie des pompiers le soir du 14 juillet ! Terrible... Sous le coup de la colère, la petite décide de s'échapper (De faire une fugue ? L'attaque - Les pleurs - ayant échoué, elle choisit la fuite ?) et coure vers la porte du Franprix. Heureusement, un vieux papi (Compréhensif) l'intercepte et décide de la retenir le temps que la mère fasse ses courses... Micro-soulagement de la mère... 2 minutes passent. La mère a fini ses courses (Notez que je suis, moi, toujours bloqué en caisse). Elle paye ses 2 packs d'eau (Merci les gens qui la laissent passer). Et la petite de vouloir être prise dans les bras de sa maman, incapable de comprendre que 2 packs d'eau et une jeune fille de 5 ans c'est trop lourd et trop encombrant pour sa pauvre mère... Nouvelle crise de larmes... Ouf ! Elles s'en vont. Je suis toujours bloqué en caisse. Un monsieur, sous prétexte de "Le Whisky l'est à 12 Euros 55 dans la pub et que vous m'le faites à 13 ben j'l'achète pas et j'fais chier mon monde en prenant 3 plombes pour payer et pi en parlant à tout'l'monde histoire d'prouver qu'j'ai raison et qu'j'suis pas un vieux con !" me fait perdre mon temps et me fait vraiment chier (Il m'arrive, moi aussi, de ne pas aimer mon prochain. Désolé Seigneur* !). Bon... Exit le Franprix et là... Apocalypse ! Une pluie fine se met à tomber, une voiture à beugler (Crisse d'alarme !) et les poubelliers se mettent à ramasser des ordures sous mon nez... Allez je rentre... N'empêche, j'ai gagné au grattage (Jouez à SAGA - Le Seigneur des Anneaux !). Comme quoi... Il y a finalement une justice. Merci Seigneur* !
* : merci d'excuser tous ces égarements bibliques mais c'est dimanche. Tiens ! Au fait... J'ai vu deux juifs se souhaiter "Bonne année". Serait-ce la nouvelle année juive ?
Dimanche matin - 10h00 - Je me lève. Je te bouscule. Nous nous réveillons... Cool ! Comme d'habitude. Je m'habille et je sors... Pas lavé (J'aime ne pas me laver, sentir la sueur et le sperme, le fauve... La merde... Le dimanche matin). Direction, la tirette à sous, le Franprix (Acheter des oeufs Kinder), la boulangerie (Acheter des croisssants), le fleuriste (Ne rien acheter car toutes ses fleurs font la gueule... Or, j'aime que l'on me sourit le dimanche matin). Détour par le buraliste... Achat d'un "Jeu à gratter - SAGA - Le Seigneur des Anneaux". Rentrer à la maison, embrasser Miss Bescherelle et me mettre à gratter (Encouragé par Miss Besch.)... Victoire ! J'ai défié les lois de la statistique ! Dans mes bras Miss Besch. ! Raymond Calbuth n'aurait pas fait mieux ! Je suis de la race des vainqueurs !
Et contrairement à Miss C, bien-aimé cancer, je n'irai pas échanger mon gain contre un paquet de clopes... Peut-être un magazine ?
CC O magnifique castel ! Comme neige au soleil lunaire, admirons-le ! Le Palais de la lune, demeure d'Eva, Souveraine de la Lune, Première Dame et Grande Nommeuse de toutes choses trouvées ou créées, peut faire penser (Aux béotiens tel Victor) à une glace fondue. Deux boules de glace à la fraise... Toutes de rose goûtues (Miam !). Il convient d'admirer ce chef-d'oeuvre... Victor et Kosavie, fourbus, font donc une pause et, de concert, poussent un "Oooooh !" et un "Aaaaah !" d'émerveillement :
Ceci ne manque pas d'attirer l'attention des gardes postés aux portes du château. Et hop ! Manu militari, voici nos deux ouailles traînées, qui par les ailes, qui par les pieds, devant le Concierge Chef. Le bureau dans lequel se trouvent Victor et Kosavie est minuscule, gris et humide... Mais une merveille s’offre aux yeux de nos deux amis : le mur, derrière le Concierge Chef, sélénite à forte ossature, est orné d'un sublime "Nu". Cette fresque, de taille gigantesque, n'est pas sans provoquer un certain émoi chez le charmant Victor : il bande ! Une bien belle turgescence qui n'est pas sans provoquer un certain émoi chez le Concierge Chef, sélénite à forte ossature et pédéraste notoire (Oh ! Le Concierge Chef bande aussi... Et de belle manière !)... Comme aux échecs, les deux tours se font face. Une discussion s'engage :
"(Kosavie) Monsieur le Concierge Chef, mon joli membre, je vous amène une créature qui, m'est avis, vient de la face obscure de notre Déesse Mère, la Lune. - (Concierge Chef) Huuuuum ! Joli spécimen. Il me faut de ce pas l'introduire (Sourire)... Auprès d'Eva, notre Souveraine lunaire, Première Dame et Grande Nommeuse de toutes choses trouvées ou créées. Evidemment ! - (Un garde, lèche-cul) Mon CC, ne faudrait-il pas d'abord l'inspecter ? Peut-être est-il piégé... Une créature bombe ? - (Un autre garde, lèche-cul... A retardement) Oui, mon vénéré CC, vous devriez ! - (Kosavie) Tout à fait. - (Concierge Chef, se déculottant) Ainsi soit-il !" - (Victor) MEEEEEUUUUUHHHHH ! Non ! Non... Oui !
Et nos deux compères, Victor, veau dévot, et le Concierge Chef, pédéraste notoire, de se livrer à un va-et-vient lubrique (Que la morale ne saurait réprouver) sous l’oeil pervers, voyeur et complice, de Kosavie, des deux gardes et... De Eva.
Le lecteur assidu l’aura sans doute deviné... La fresque qui orne le mur n’est pas une simple peinture mais une glace sans tain dont la fonction principale est de satisfaire les caprices d’Eva, Souveraine lunaire, Première Dame et Grande Nommeuse de toutes choses trouvées ou créées et (Surtout) grande pécheresse devant l’Eternel ! Le bureau du Concierge Chef : un peep-show lunaire et gratuit !
Et ce qui devait arriver arriva. Séduite par le membre turgescent de Victor et fort intéressée par son arrière-train (Actuellement plus qu’occupé par le Concierge Chef), Eva tombe amoureuse de Victor (Eva ! Quel cœur d'artichaut !). Une chose divine... Et tellement romantique ! Un romantisme rose qui sied infiniment à la douce Eva, femme nue... Et folle.
Paroxysme. Dans un ultime effort, le Concierge Chef assène un dernier coup de vit à Victor et décharge abondamment dans son arrière-train... Un quart de tour, un clin d’œil à la sublimissime Eva (Devoir rempli !)... Il se retire et recule de quelques pas contemplant son œuvre... Le sperme sélénite (Matière argentée) coule du fondement de Victor... "Plic ! Ploc !" sur le carrelage... Quelle musique sublime ! Il n’en faut pas plus à Eva pour traverser la glace et apparaître, nue devant (Enfin derrière) Victor. En deux pas légers la voilà devant notre veau, fort dévot. Elle se saisit de son braquemart toujours énorme, rouge et gonflé et entraîne la pauvre créature vers ses appartements... Victor n’est plus seul : il est avec une reine et il est excité.
Ma mère écrit tous les jours son journal. Ce n'est pas un journal intime... Ce n'est que son journal, sa vie. Elle y dit ce qu'elle a mangé, vu à la TV, qui elle a croisé... Une perle pour les historiens de l'an 3000. J'aimerais donc dédier ce site à ma Mère (Avec un très grand "M" car c'est une très grande personne d'1m56... Sans les talons... A moins que ce ne soit 1m53 ?).
Note : il n'y a plus de "Rabbitz" sur ce site (Le lapin a été découvert et écorché vif) mais une jolie bannière à la gloire de Bettie Page, Queen of Curves, Pin-Up sublime...
Je fais décidément un bien beau métier. Je passe mon temps à faire des croix, cliquer sur des boutons (Dans de beaux logiciels gris), répondre (Par téléphone ou par mail) à des demoiselles excédées... Je suis plutôt calme et organisé, résultat : no stress (Je ne suis jamais "charette")... Et parfois, je glande. Tout cela entre 9h12 et 18h30 avec une jolie pause "Déjeuner" entre 12h45 et 14h15. Un vrai petit fonctionnaire (Je suis pourtant employé dans le privé)... Réglé comme une horloge.
Ce midi, j'ai été cueillir, non pas des fleurs, mais des feuilles mortes. De jolies feuilles mortes tombées sur le joli parterre du joli Bois de Boulogne... Tombées au millieu de fort jolis préservatifs et autres résidus d'activités à caractère sexuel (J'ai d'ailleurs vu une jolie - Enfin à forte poitrine et d'un certain âge - prostituée faire les 100 pas le long de la route... Attendant le Prince Charmant... Racolant l'client !).
Vers 16h10, une douce musique s'est fait entendre : le bruit des sirènes... Les sirènes du cortège officiel, un grand nombre de motards, une voiture. Sarkozy rentre à la maison.
Infos concerts. La semaine prochaine... Que du gratuit !
- Mercredi 01/10/2003 (Aux alentours de 00h00) : Le Maximum Kouette est "Dans mon garage" (Autrement dit au Pulp). Roots me dit-elle... Roots !
- Samedi 04/10/2003 - (De 14h00 à l'aube) : Le Grand 8, concerts, débat et forum... Un panorama des musiques amplifiées en Ile-de-France avec, entre autres, Gameness. Tout ça à lieu au Zenith de Paris (Réaménagé pour l'occasion). Plus d'info sur le site de la Pêche.
Et pour ce soir je vous rappelle le concert de Robocop Kraus aux Instants Chavirés à Montreuil. That's all folks !
This evening has been most rewarding... Let's say pleasant... Marvelous... No it was some kind of wonder. We (My Lady and I) received gifts... A lot of gifts :
- A black and pink tie.
- A black and white tie (Think rocksteady, ska... You've got it).
- A "Frou Frou" Briefs (Kinky stuff from Axfords).
- Love.
And I personnaly received a very very very delicious meal : cheese, crêpes, chocolate and white wine. We've listened to rock music (With guts)... Nice ! So nice ! Home sweet home... In my name : thank you my Lady. In our name : thank you Miss LN (We really LOVE you).
Toby or not toby ? That is the question... Dois-je utiliser la carte "Old Toby (1C305)" dans mon Deck ? Est-il judicieux de fumer une bonne pipe (Note aux esprits pervers : je n'ai pas dit "Se faire tailler une"... Je n'aime pas particulièrement ce genre de caresse buccale. Le fellatio - "A good head" or "A blowjob" - m'indiffère...) ? Non je fais encore et toujours référence à LotR (Décidément c'est la journée). Comme quoi tout ce qui m'intéresse dans la vie c'est le jeu, le caractère ludique des choses, the funny side of the Q (Le cul, the ass, my bottom). Je suis un obsédé. La question reste : "Frodo's Pipe (3U107)" ? "Bilbo's Pipe (1U285)" ? Who's got an answer ?
Il y a des jours, il y a des lunes. Parfois j'écris, parfois j'oublie. Mon Dieu (Monsieur Big "D" !), où est ma muse ? Ce que j'écris est insipide... A se pisser dessus et en rire. Bon alors ? What the fuck ? Je comptais bien écrire sur LotR mais pour dire quoi ("Quoi !" cria l'abbé) ? Que je n'ai pas joué à ce jeu depuis un an... Que j'ai perdu les 1000 et 1 réflexes du joueur de base ? Non pour rien, comme ça... Pour dire qu'hier soir, du côté de la rue Saint-Denis j'ai croisé un souteneur tatoué (Et très protecteur... Si j'étais une pute, métier honorable, j'aimerais être accompagné d'un tel homme) qui a lui aussi vu les Cramps mardi soir. J'ai d'ailleurs dû le percuter une ou deux fois... M'en souviens pas trop... Mais cela a dû arriver. L'angoisse de la page blanche. Les idées qui vont et viennent. Dire que je viens de recevoir le dernier numéro de Rock & Folk (Merci à toi cher collègue qui me l'a ramené). Dire... Dire... Me dire ou vous dire. Dois-je m'adresser à vous ? A moi ? Ma conscience ? Dieu ? Un cornichon peut-être ? J'ai l'écrit éthylique... Ni queue, ni tête... Se laisser faire... Iggy is god (Yes ! He's a toy). Hep ! Il paraît que le fromage est le premier des desserts (Dixit Brillat-Savarin). I should write a little bit in english just to make sure that I'll fool that fuckin' translator... Hey you "One afternoon slut, everyday's Miss, sparkling Lady" ! Yes... I'm talking to you ! Let's get sweet... Very sweet... And sour ! I don't know what I'm talking (writing ?) about. Propaganda. Got to use my brain... Concentrate. Stop. Work.
Tiens j'ai rajouté un truc en bas mais ça ne sert à rien (Pour l'instant... C'est écrit dessus).
Update du jour : j'ai mis un lien vers le site de Jérémie / Jerrycan. C'est du graphisme, du dessin, de la BD et c'est beau (Et rigolo) ! Je suis heureux et complétement obsédé par LotR (Lord of the Rings TCG).
Elle l'a eue ! Résultat : une alcoolique de plus ! Une... Et dire que le prix du tabac augmente... Tsssss ! Tout ça pour avoir tâté de la bourse ! Lubrique zone. Feel so excited !
The Cramps à l'Elysée Montmartre - Mardi 23/09/2003 - 19h30 (Le groupe est monté sur scène à 21h00). Une fin apocalyptique mais un concert, somme toute, moyen.
Je n'avais jamais vu les Cramps. Me voilà donc à 19h30 tapante à l'Elysée Montmartre. La salle est vide (Ou presque). Une petite bière (Fischer - 3,50 Euros). Je m'assoie. Je bouquine une petite demi-heure sur fond de garage et autres morceaux rock'n'roll et endiablés. La salle se remplit... 20h00. Tony Truand et ses deux solutions montent sur scène et nous assènent une demi-heure de psychobilly (Sans le look) à la française. Un bon mix entre le punk français des années 80 et LE rock'n'roll. J'apprécie les paroles. Tout pareil qu'en anglais... Mais en français. Torride ! Tony Truand, une célébrité, très certainement made in 80's, que je ne connais pas, une joke de spécialiste (?)... 21h00. Je suis au deuxième rang, les pieds collés à cette petite marche métallique, si caractéristique de l'Elysée Montmartre. Les lumières s'éteignent. Introduction musicale... The Cramps ! On stage ! Let's turn the fucking place down... Because WE... NEED... ROCK'N'ROLL ! Lux Interior aura beau s'époumoner, Poison Ivy être sexy en diable, le public parisien n'entrera jamais en transe. On le verra bouger, danser mais prendre fait et cause pour les Cramps : jamais... Pourtant, les morceaux s'enchaînent "harmonieusement". Lux Interior détruit très consciencieusement chacun de ses micros (Plus tard je veux me réincarner en micro pour finir dans la bouche de Lux Interior)... On notera l'hommage à Johnny Cash (Poignant) et surtout ce final, 10 minutes apocalyptiques qui verront Lux monter sur les enceintes, s'accrocher aux rideaux ("Allez Mister Interior ! Turn that fucking place down !")... Tout ça pour finir à poil... Comme aux plus beaux jours... Ca y est ! J'ai vu les Cramps !
Aujourd'hui, j'ai le corps tuméfié et un beau T-shirt "The Cramps - Free Shave !". J'adore danser... Twister... Pogoter...
Au concert des Cramps j'ai rencontré, dans l'ordre, Jérémie (Jerrycan ! Cherche boulot en tant qu'infographiste... Ce soir, je vous mets son sitedans les "Links"), la Rock & Folk Team (La Despentes et le Maneuvre), Mylène, Coxs, Sophie (Qui a vu Emma et son amoureux), Paul (Sonic Machine / Holy Curse)... The Cramps, un concert people ?
Et voilà ! Les commentaires - "REACTION ?(X)" - sont aussi morts que Johnny Cash (R.I.P.) ! Vous pouvez dorénavant m'envoyer des mails (Ce qui m'évitera de prendre la sale manie d'allez consulter mon site alors que je suis en train de travailler). Note technique : merci de ne pas changez l'objet de votre mail... Siou'Plaît !
Sinon, des détails sur le fameux (Et désormais célébre, attendu et tutti quanti) concert de Robocop Kraus de vendredi soir. C'est aux Instants Chavirés (7, Rue Richard Lenoir - Montreuil - 93... Métro : Robespierre... Puis remontez la Rue de Paris en direction de Paris... La rue Richard Lenoir / La salle se trouve quelque part sur votre gauche... Cherchez bien). C'est à 19h00 (Histoire de ne pas louper les deux premières parties) et c'est 8 Euros (Si mes souvenirs sont exacts). Des morceaux de Robocop Kraus sont écoutables sur le site de timoti.
Réflexions sur la forme ou "Seuls les imbéciles ne changent pas d'avis". Sur les conseils (?) d'un certain lapin, je vais supprimer les commentaires - REACTION ?(X) - et les remplacer par un lien vers mon adresse e-mail (Oui ! Oui ! Mon adresse très très personelle). Donc, prière de configurer vos logiciels de messagerie... Ou, pour tout commentaire "publique (Ou public ?)", d'utiliser le Guesbook : il est fait pour ça... Et je viens d'apprendre que les commentaires - REACTION ?(X) - ne fonctionnent plus. Alors ! Il vous reste à peine quelques heures (La révolution aura lieu ce midi) pour essayer de poster un commentaire. A bon entendeur...
Internet auction site eBay has been hit by a new craze in which sellers appear naked in reflections on goods they're selling.
"Reflectoporn" is said to have started in the US and now British exhibitionists have caught on.
Sellers take a photo of the object they're auctioning in the nude and their naked body is reflected in its polished surface, reports the Daily Record.
Naked bodies have been spotted on electric guitars, knives and forks.
The craze was spotted by experts at web magazine Internet.
eBay user Paul Gibbins said: "Many people have called the craze shocking and debasing but I think most eBay users see it as harmless fun."
An eBay spokesman said users are banned from selling erotica or sexually oriented materials, and aren't allowed to depict genitalia. "If we become aware of any item listed for sale on the site that breaches this policy, it will be removed."
Pour voir un exemple de "Reflectoporn" cliquez ICI ou rendez-vous sur le site www.reflectoporn.com. Moi j'aime beaucoup ce phénomène. Toute utilisation détournée d'un objet de "masse communication/masse consommation" me plait... A quelques exceptions (Très perverses et très illégales) près.
Bloguons peu, journalons bien. Du pourquoi du commentaire sur ce journal (Comme quoi je lis les autres blogs... Mais je réponds sur mon journal ! C'est comme ça ! Na...). Alors. Si j'ai rajouté un commentaire sur MMIY V2.01 (Me, Myself and I (You ?) Version 2.01) c'est :
1. Pour ajouter une connerie, préciser un truc (Si l'envie m'en dit) sans pour autant dissocier cette connerie, ce truc du post qu'il concerne (C'est le matin, j'ai l'impression d'écrire en chinois. Suis-je compréhensible ? Pour me répondre, utilisez "Réaction ? (X)"). 2. Parce que, sur certains posts, j'aime recevoir un commentaire. Faire progresser le schmimilimili... Block... Miliblick.... Schmibick... Enfin le débat. 3. Parce que c'est mieux qu'une adresse e-mail. Une adresse e-mail c'est un truc personnel, très personnel. J'ai déjà deux adresses e-mail à gérer alors, en créer une troisième dédiée à ce journal, non merci (Et puis mes 4 lecteurs ont d'ores et déjà mon adresse et s'en servent... Alors ?). 4. Pour faire comme tout le monde et parce que certain(e)s me l'ont demandé.
Finalement, c'était mal journalé... Et cela ne fait pas avancer le schimimilo... Schimiblick... Smiliblick... Enfin le débat.
Faut pas faire chier la marmotte ! Des fois, elle mange le chocolat... Ca va chier des bulles ! Ou bien des orang-outangs ! Et ce soir je vais voir les Cramps (Toujours vivants !).
Vu hier sur France 5. Si le champ magnétique terrestre venait à s'inverser (C'est inéluctable), nous pourrions tous muter et mourir sous l'effet des rayonnements cosmiques et autres effets mutagènes... Torride ? Je trouve cela vraiment passionnant... Vraiment !
En ce moment j'opère un retour vers "les années fac". Comme une envie d'apprendre, de comprendre, de me bourrer la tête de chose plus ou moins inutiles... Et cette émission (Superbe émission !) va dans ce sens... Comme une envie de savoir d'où vient le champ magnétique terrestre. Il y a, me semble-t-il, un rapport avec la dynamo... On parle même de dynamo terrestre (Je l'ai lu quelquepart)... Sans déconner, il faut vraiment que je m'y penche. Merveille que le net... Demain, je chercherai ! C'est sûr... Demain, je suis incollable en champ magnétique terrestre. Demain, journée de l'Amour (Mais pourquoi ? Quel est le rapport avec l'inversion du champ magnétique terrestre ? Réponse : aucun mais j'ai envie... Envie d'être et de rester amoureux... Envie d'habiter un nuage, un petit village dans les nuages). Et à part ça ? La Terre tourne encore. Vous devriez lire Jean-Pierre Andrevon.
"Les enfants sont formidales" disait Jacques Martin... Et il avait raison. Depuis hier je dirais "Pouponner is a drug". Hier après midi, je me suis occupé d'un petit Adrien (7 mois si mes calculs sont exacts). Je l'ai promené dans un porte-bébé, pendant 45 minutes, sa petite tête posé sur mon torse... Me retrouver ainsi, un bébé posé sur mon ventre et le dos légérement cambré, quel bonheur... Calme et volupté. L'enfant s'est endormi. Il me tient la main... Je me suis imaginé enceint(e) ! Rêve impossible, irréaliste... Ou presque (Ah ! Les progrès de la science !).
Ce week-end, à la télévision (Merci le Zapping de Canal +), j'ai vu un extrait de la dernière intervention de Francis Mer, ministre des finances de la France (Envoyer la Marseillaise !). J'ai bien aimé son discours... Non pas sur le fond (Discutable... J'en discuterai ci-après) mais sur la forme : un économiste s'est adressé aux économistes ! Grandiose ! De mémoire, notre (Très cher ? Trop cher ?) ministre à dit : "Une hausse des impôts impacte plus, en valeur absolue, les riches que les pauvres. C'est un effet mécanique". Et, regrettez-moi de vous le dire, il a parfaitement raison... Illustrons notre propos...
- Soit un "riche" qui paye 10 000 Euros d'impôt par an et un "pauvre" qui n'en paye que 1000.
- Imaginons une hausse des impôts de 10% (Cauchemardons un peu...).
- Pour le riche cela signifie une hausse d'impôt, en valeur absolue, de 10 000 * 0.1 = 1 000 Euros.
- Pour le pauvre cela signifie une hausse d'impôt, en valeur absolue, de 1 000 * 0.1 = 100 Euros.
- Jusqu'à preuve du contraire : 1 000 Euros > 100 Euros.
- Conclusion : "Une hausse des impôts impacte plus, en valeur absolue, les riches que les pauvres. C'est un effet mécanique". CQFD.
Francis Mer, ne peut pas, en bon économiste, parler "en valeur relative"... Entendons par là "Une hausse des impôts fait-elle plus chier les pauvres ou les riches ?" (Et non pas "10%" car la hausse des impôts, dans mon exemple, est, en valeur relative, de 10%. Au sens strict, la hausse des impôts impacte autant, en valeur relative, les riches que les pauvres).
Alors... Une hausse des impôts fait-elle plus chier les pauvres ou les riches ? La réponse, pour un économiste, n'est pas évidente. Il faut d'abord s'accorder sur ce qu'est un pauvre, sur son comportement :
- Quels sont les facteurs qui influent sur son utilité (Un terme économique, une fonction, un chiffre, qui signifie "Tout ce qui est utile à sa vie, à son bonheur") ? Est-ce le salaire ? Le prix du Coca-Cola ? Le nombre de sourire que lui fait son enfant ?
- Le pauvre a-t-il un comportement maximisateur ? Cherche-t-il à avoir une utilité "la plus grande possible" ?
Il faut ensuite se poser les mêmes questions concernant le riche puis étudier l'impact d'une hausse des impôts sur les deux "individus représentatifs" (Le pauvre et le riche). Comme quoi l'économiste et le "bon sens" cela fait parfois deux...
Autre précision concernant les riches. Un pays, s'il veut se développer, a besoin de riches car les riches payent plus d'impôts que les pauvres. Ils rapportent donc plus à l'Etat. Alors... Pourquoi ne pas prélever encore plus d'impôts sur les riches (Et le redistribuer aux pauvres) ? Parce que, en vertu (?) de la "libre circulation des personnes et des capitaux", le riche peut à tout moment décider de quitter un pays dans lequel il paierait trop d'impôts (Et s'installer dans un paradis fiscal). Le pays, qui a perdu ses riches, ne peut donc plus se développer, faute de rentrée d'argent (Les impôts) suffisantes... D'où dilemme :
- Il faut favoriser les riches pour qu'ils ne partent pas vers un paradis fiscal.
- Il ne faut pas les favoriser car cela creuse la fameuse "fracture sociale".
C'est en entre ces deux extrêmes que ce situe la solution...
Résumé du week-end (Et voilà ! Comme ma mère, je prends des notes du type "Ce que j'ai fait", "Ce que j'ai mangé"... Sur un journal intime) :
- Vu "Max" au cinéma (Vendredi soir). Un bon film ("so kitch !" comme dirait Max Rothman).
- Vu un conseiller financier (Samedi matin). Ai parlé de notre avenir...
- Glandé et pas mal écrit (Samedi après midi).
- Vu deux épisodes de Star Trek DS9 (Samedi soir).
- Me suis couché trop tard (Samedi soir).
- Me suis réveillé trop tôt (Dimanche matin).
- Moment érotique 7 : utiliser un préservatif rose.
- Ne pas me laver (Dimanche).
- Pouponner (Dimanche après-midi). Adrien est trop mignon ! Il s'est endormi... La tête sur mon coeur.
- Tomber de sommeil (Dimanche soir - 21h30).
Looking at the fridge... I was looking at the fridge ! Le frigo... Je regardais le frigo ! Micro-wave oven ? Yeah... I was looking at the micro-wave oven. Micro-ondes ? Ouaip... Je regardais le four à micro-ondes. TV. Star Trek. And then... Switch on the computer... See what's going on... Puis... Allumer le PC... Voir ce qui se passe... Get irritated. Etre agacé. She's been burglarized. Elle a été volée. Is that a rape ? Est-ce un viol ? Invasion of her privacy... Définitivement. Une soirée de plus. My heart is sleeping. Mon coeur dort. Elle n'a pas pu lire. 2 bad !
KOSAVOE ET KOSAVIE "Mais que fait-il là cet... Hum... Energumène ? - Energumène ? M'a tout l'air d'une bicyclette ! P'têt un xylophone... En tout cas ça n'vient pas d'chez nous ! C'est étrange ! - Monsieur Kosavoe... Pas de jugement hâtif... Il s'agit, peut-être... - (Lui coupant la parole) M'sieur Kosavie ! Avec tout l'respect que j'vous dois ! C't'une bicyclette... (Regardant les cornes de Victor) Suffit d'voir le guidon ! - En êtes-vous sûr ? Il s'agit, peut-être, à mon avis, d'un sélénite de la face obscure. Quant au guidon... - (Lui coupant la parole) Fi ! M'sieur Kosavie ! Bon OK... Une bicyclette volante. J'vous l'accorde. Mais c'est normal ! L'a pas de roues et l'a des ailes ! Tenez... J'vais faire un tour d'bicyclette volante. Tenez moi l'engin".
Et Monsieur Kosavoe (Citoyen de la Lune, grand voleur de bicyclette) de monter sur le pauvre Victor, veau dévot et bicyclette malgré lui, avec l'aide de Monsieur Kosavie (Autre citoyen de la Lune, détrousseur scientifique).
Ouvrons une parenthèse de nature exobiologique. Les sélénites sont, comme le veut la tradition, des créatures longilignes et bipèdes au teint gris et à la tête en forme de croissant de Lune. Leurs vêtements ressemblent fort à ceux de l'aristocratie allemande du dix-huitième siècle : un vieil héritage d'un certain Munchausen (Baron de son état). Fermons la parenthèse. Retrouvons Kosavoe, Kosavie et Victor.
"C'est qui tient pas sur se pâtes c't'engin ! - Je vous le répète Monsieur Kosavoe, ceci n'est pas un engin et encore moins une bicyclette. C'est un être étrange. Etrange mais très certainement vivant. D'où cette conclusion logique : il vient de la face obscure de notre beau pays. - Mais non ! Doit être à sec l'engin ! Allez ! Mettez lui un peu d'poussière d'étoile dans le carburateur. - Monsieur Kosavoe... - Allez M'sieur Kosavie ! Pas d'discussion oiseuse. Poussière d'étoile et tournez-y la manivelle. J'mets le harnais d'sécurité !"
Et Monsieur Kosavoe de s'introduire dans le slip (Kangourou) de Victor pendant que Monsieur Kosavie ouvre la bouche du veau dévot, y dépose une once de poussière dorée, lui ferme la bouche puis lui fait tourner la queue.
"Plus vite M'sieur Kosavie ! L'veut pas battre des ailes ! Marche pas c't'engin ! - Kosavoe ! Cette "chose" doit être morte. C'est tout. - Parlez pas d'malheur M'sieur Kosavie !"
A ces mots, l'esprit revient à notre bon Victor qui, pris de tremblements, se met à ruer comme un beau diable (Lui ! L'envoyé de Dieu !). Kosavoe, pris par surprise, est désarçonné. D'un geste réflexe et désespéré, il s'accroche au slip (Kangourou) de Victor. Kosavie, pris par surprise, reçoit un coup de queue du fier Victor.
" (Victor, mugissant) HiHaHo ! Où suis-je ? - (Kosavoe, accroché au slip de Victor) V'là t'y pas que l'vélo parle ! M'sieur Kosavoe ! - (Kosavie, reprenant ses esprits) Pardon ? - (Victor) Qui êtes-vous ? - (Kosavoe) M'sieur Kosavoe, citoyen de la Lune, grand voleur de bicyclette. - (Kosavie) Monsieur Kosavie, citoyen de la Lune, détrousseur scientifique. - (Victor) Hum... Gontran (NDLA : le vrai nom de Victor est Gontran. Mais il plût à Dieu de l'appeler Victor Cf. Episode 1). - (Kosavoe et Kosavie) C'est tout ? Pas de citoyenneté ? Pas de titre ? - (Victor) Hum... - (Kosavoe) Voilà bien not'chance ! Cet être vivant ne vient d'nulle part ! - (Kosavie) Non, Monsieur Kosavoe, il vient de la face cachée de la Lune. - (Kosavoe, horrifié) Mais alors ! C't'un étranger ! A L'INVASION ! A L'INVASION ! A L'INVASION !"
Et Monsieur Kosavoe de partir en courant.
"Monsieur Victor, être venu de la face cachée de la Lune, puisque vous ne possédez ni citoyenneté, autre qu'approximative, ni titre, je me propose de vous conduire au Palais de la Lune et de vous présenter à Eva, Souveraine de la Lune, Première Dame et Grande Nommeuse de toutes choses trouvées ou créées", dit Kosavie. "Oui !", répondit Victor, veau dévot et lubrique dont le membre, bien que refroidi, se tenait bien gaillardement à l'évocation d'Eva.
Et nos deux compères de cheminer (De concert) en direction du Palais de la Lune.
This* is not my bottom. This is not My Lady's bottom. This is her bottom. She's MissX and she's gorgeous. She can easily be pictured as a victorian maid. She's got this bottom. It's not a perfect bottom but one of the nicest I've ever saw. Hail this bottom ! Since I'm not a bottom lover... This bottom must be particularly beautiful (Or am I getting old ?). Bottom, bottom, bottom... Can you speak ? I've seen a butterfly. Butterfly kisses. Has Anybody said butter ? Butter and bottom... Remind me of Bernardo Bertolucci's "Last Tango in Paris". Marlon Brando is such an ass... Ass and bottom. We're going full circle. Back to... This* is not my bottom. This is not My Lady's bottom. This is her bottom. She's...
* : Copyright kinkymissx.com 2002-2003. It may not be reproduced without written permission of missx@kinkymissx.com (She might even kill me for using this link).
Ce matin j'ai posté un commentaire sur un "blog ami". Cela parlait de révolution. Or, il y a quelques minutes, on (Le fameux "on", pronom indéfini par excellence) m'annonce une évolution non négligeable de mon statut, une micro révolution dans ce qu'il est convenu d'appeler "Mon travail" (35 heures passées derrière un écran d'ordinateur, à vérifier des chiffres. 35 heures qui me permettent de subsister, de remplir "mon contrat social" : boulot = argent = consommation = bonheur ?). La roue tourne. Le grand capitalisme a besoin de moi. Me propose-t-il quelque chose d'excitant ? Pas vraiment... Plus de responsabilités ? Oui, peut-être... Plus d'argent ? C'est possible... Vais-je refuser ? Non mais je vais freiner des quatre fers, négocier...
J'ai compris très tôt que le travail ne serait, pour moi, qu'une chose alimentaire, nécessaire à ma survie en société (Société individualiste, occidentale, capitaliste...). Je ne souhaite pas m'épanouir dans mon travail, me réaliser... Si cela m'arrive tant mieux sinon "I don't care". Mon travail est aliénant (Au sens de Marx) ? OK, ce n'est pas un problème... Tout ce que je demande à un boulot c'est de ne pas m'empêcher de "Vivre ma vie" (Ecrire ce journal par exemple... Mais aussi aller voir des concerts, me faire tatouer... Des trucs d'adolescents... Mes trucs à moi... Mais aussi avoir un enfant et m'en occuper...). Le rapport (Temps passé au travail + Temps passé à penser au travail donc le "stress") / (Salaire + Avantages "en nature") ne doit pas être en ma défaveur. Or, avoir "Plus de responsabilités" ne me semble pas aller dans ce sens...
Au fond, je rêve d'être "fonctionnaire". Spleen et idéal...
A 9h36, Sarkozy et ses motards (Macho ! Macho man ! I want to be... A macho man !) viennent de passer sous mes fenêtres... Neuilly sur Seine, c'est beau ! Non ?
Clair, limpide, cristalin... J'ai enfin compris pourquoi j'ai passé 6 ans de ma vie à étudier l'Economie (Avec ou sans grand "E"). Page 75 de "Homo Aequalis" par Louis Dumont, j'ai lu : "L'économique comme catégorie majeure représente le sommet de l'individualisme". Un égocentrique comme moi (Petit bourgeois aveuglé par mon Ego de merde... Enculé !), pur produit de cette société individualiste, occidentale et judéo-chrétienne, ne pouvait qu'étudier l'Economie. CQFD.
Louis Dumont ajoute "Et comme tel tend à être suprême dans notre univers". A méditer...
Bientôt, je vous ferais une fiche de lecture sur "La genèse et l'épanouissement de l'idéologie économique" (Un truc qui, peut-être, n'intéresse que moi et une poignée d'universitaires).
Pour tous ceux qui pourraient se poser la question : "Oui ! J'ai coupé la musique (Ce blog est désormais silencieux)... Parce que je n'ai pas tous les jours une âme d'enfant ! Na !". A part ça ? Ca va... Je réfléchis.
Chronique musicale : vendredi soir, j'ai bien été voir "The Incredible Defenestrors" à la Cantada (Dans le fameux "Trou" de la Cantada). Alors ? Verdict ?
The Incredible Defenestrors (Doit-on les appeler TID ? The Defenestrors tout court ?) est un groupe punk garage bon pied bon oeil qui n'a pas à rougir de sa prestation. J'ai vu nombre de concerts beaucoup plus chers et beaucoup moins bien ! Bon OK... C'est du punk garage, un style simple mais qui, pour peu qu'on aime ça, le fait toujours... So what ? C'était bien et (Qui plus est) original. Oui, original ! Vous en connaissez beaucoup vous des groupes emmenés par un batteur chanteur qui ne soit pas assis ? Même les Eagles* ne le font pas ! Cet illustre inconnu est secondé de main de maître (Ou de maîtresse) par un guitariste (Illustre inconnu 2) et une bassiste (Coxs aka bassiste du Maximum Kouette). Trente minutes de concert à fond (Les oreilles de certains auditeurs s'en souviennent encore). Un enchaînement de "petits brûlots qui font danser (Quoique le public, "parisien" et composé d'habitués, ne se soit pas réellement défoulé)". Que du bon ! A noter, au milieu du set, un morceau en français - "Ca va saigner" - fort sympathique (Comme quoi les groupes hexagonaux pensent aussi à toi auditeur non anglophone !). Bref : trente minutes de bonheur qui, le vendredi soir, vous passe un grand coup d'essuie-glace sur les petit tracas de la semaine (Image osée, n'est-il pas ?). Un groupe à suivre dira le critique rock... A voir dira le quidam que je suis !
* : désolé pour la comparaison... Mais des batteurs chanteurs connus du "grand public", je n'en connais pas 500.
Nostalgie : depuis ce matin, je lis "Homo Aequalis" par Louis Dumont (Bibliothèque des Sciences Humaines - NRF - Gallimard). Durant mes années fac, je m'étais juré de lire ce bouquin (Il faisait partie des lectures "recommandées" en DEA d'Epistémologie Economique). Et là, enfin, je le lis... Comme quoi "On peut très bien remettre à demain ce que l'on doit faire aujourd'hui" !
Précision : la chanson "Kom Mor Ip" (Cf. Post du 14/09/2003) est une chanson de 'T Hof Van Commerce, groupe gantois appartenant à l'écurie (Enfin le label) Kinky Star Records. Imaginez les Beastie Boys en version flamande est vous obtenez : 'T Hof Van Commerce.
1 Mississippi, 2 Mississippi, 3 De leverancier zorgt voor de party Bier zonder alcohol, da vindje ier nie Moa wel nen oop wuvjes in monokini Wunder vree zwoar charcuterie Heel de nacht deure Ke een volle batterie Een zoale en volk en een disk-jockey Niemand minder dan oezen eigen 40
Sloa mor up de belle De match e gedoan 't E ier nen MC ut d' 'elle Ge kost et al roaden Te were tied, 't loatste uur e gesloan Het verdict van God e mysterieuze boanen
Der moeten wa gasten up under plekke gezet W'en weg gewist, 't publiek et 't lastig ge'ed Moa we maken retour en te were vet Up volume drie, eij, ge zie gered
REFREIN Na na na naah, na na na nah Buzze e gereed Kom mor ip Na na na naah, na na na nah Kowlier e gereed En 't zit erip
Gedoan me controverse me dak ut miene 't Hof van Commerce e nie best 't Hof van Commerce es alliene Z' en der twoa van geba'en In oes afwezigheid Nu komt den oap ut de mouwe Wuk omme gezeid Wien es ter nummer 1 Nummer 1 van de scene Zelfs de sterren van 't veld goan de competitie mien (=mijden) Beste rivalen, De kust e nie kloar Go je moaten goan 'alen Of we zien me jen oar
Eij, eij, vee te veel bier e voa te pissen Sorry wuvje, moa ge goa mie moeten missen 't WC of na butten, ik moete beslissen Goe peizen nu, nie vergissen Da strukske oan den overkant Da zie kik zitten 't E veel gemakkelijker Ge moe nie mikken 't Volk op de stroate zegt "Kiek noa dien dikken" Want onder die struken ligt er een te pitten
Eij DJ, mok moar dat buust, mok moar dat buust Eij DJ, 't volume e duust. 'k Goan tvoelen in m'n kloten
REFREIN
Geboren in Izzegem, woonachtig in Gent 'k E gasten utgelachen 'k E vrouwen verwend Pak genoegen me mie Johnny Depp e nie vrie 'k E gelezen in de Story jes nog altied me Vanessa Paradis Ti woa, tot doar die fantasie En 'k ging et oar vergeven, van 'Joe, le taxi' Want 'k ben ne grote mens Ik e zakken begrip Toon mien jen erte en ik terte derup
"I had a dream... This morning" - Pasteur Wilfried Luther King (Not dead yet).
Oui, ce matin, j'ai eu un rêve. Cela m'arrive peu... Très peu... Trop peu.... Aux alentours de 10h00, je me suis recouché et "Stupid thing !" j'ai rêvé. Un rêve multi-générationnel dans une grande maison. Je vous raconte (Enfin, je me raconte, je te raconte mon Amour parti chercher des fleurs de jardin, je consigne dans mon journal) :
J'étais en vacances dans une grande maison. Une maison de maître (Dans le genre Moulinsart dans les albums de Tintin), un petit château de la Loire confié par ses propriètaires (un couple richissime et absent de mon rêve*) à mes grand-parents (J'aime mes grands parents) maternels et tourangeaux. Je n'étais pas la seule personne en vacances dans ce château... Loin de là ! Il y avait aussi une bonne partie de ma famille (Mes parents, mes oncles, mes tantes...), une colonie de vacances (Quasi absente de mon rêve) et leurs moniteurs jardiniers, bricoleurs et fêtards (Cela fait beaucoup pour une bande de moniteurs... J'aurai pu les qualifier de hippies modernes). Tout commence par un vol de deltaplane / balai planneur / ULM tout droit sorti de Harry Potter. Aussi étrange que cela puisse paraître, l'une des activités organisée par les moniteurs de la colonie de vacances (J'écrirai désormais "La colo" : c'est plus court) est le vol sur engin bizarre. L'engin bizarre est un balai fait de branchage (Un beau balai de sorcière) muni d'une voile rouge et d'une armature métallique permettant à l'ensemble d'être "cohérent (?)". Une espèce d'ULM sans moteur avec balai... Le tout est muni d'un crochet placé sous l'engin, ce crochet permettant d'arrimer l'engin à la colline lui servant d'aire de lancement. Vous suivez ? Nous voici donc, l'un des moniteurs et moi, perchés sur un engin, lui-même attaché à une colline très verte et très pentue... Ne me demandez pas pourquoi, mais il se trouve que cette activité à laquelle excelle les mômes de la colo (Donnons-leur 8 ans) me déplaît fortement. Bref, je m'élance, le mono (Voilà qui est plus simple que "Moniteur") derrière moi. L'engin s'élance, le crochet qui le retient à la colline émet un "Clac"... Je vole (Très mal, le mono à toutes les peines du monde, à contrôler l'engin)... Je panique... Et je vomis ! Atterrisage quelques mètres plus bas... Chaotique... Promis ! Plus jamais je ne monterai dans ces engins. Fondu au noir. Je passe à la séquence suivante. Le soir, me voici au château... Je suis censé dîner avec ma famille mais, cédant à la (fameuse) peur de m'ennuyer, je décide d'aller me joindre aux monos qui, abreuvés de bière, ripaillent et festoient en chantant (Des trucs rock et français) dans les couloirs. Problème : les monos, qui me connaissent depuis fort longtemps ne me considèrent toujours pas comme un adolescent ou un adulte (A croire que, si moi je grandis, eux ne grandissent pas et demeurent, encore et toujours des monos adulescents. Paradoxe du rêve !). Bref, me voici, tout honteux de mon expérience de l'après midi, courant après les monos dans les couloirs, leur réclamant, avec force larmes, de la bière... Evidemment, ils se moquent de moi et ne veulent pas m'en donner sous prétexte que je risque de vomir partout... Je suis hyper frustré ! Fin du rêve... Je me réveille avec une sacrée gueule de bois (Alors que je n'ai pas bu la veille). Comme quoi...
Moralité (Interprétation) : je suis un garçon qui, malgré ses 30 ans, a encore peur de grandir (vieillir ?). Je crois que c'est un mal très générationnel et qu'il n'est pas normal qu'un garçon de mon âge écrive son jouranl intime en ligne. Et toc (J'adore ce genre de conclusion) ! Soyons adultes ! Regardons TF1 !
* : "absent de mon rêve" signifie des gens dont je connais le rôle mais qui ne font aucune apparition "physique" dans mon rêve. Comme quoi les rêves c'est étrange et complexe.
Besides, The Reverse Cowgirl rides off into the sunset (As I read it in Radio Free Blogistan).
Miss Bescherelle est très romantique ce matin (Miam !).
J'ai appris qu'Ispahan est une ville iranienne ("La nuit est une femme à barbe venue d'Ispahan ou de Tarbes").
Enfin, il ne faut pas lire Sally Forth, une BD de Wallace Wood. C'est mauvais.
Allez hop. Je vais "Pinguer" (Pinguer [Prononcer "Ping-OU-er"] : manger des oeufs surprises Pingu).
ORDINO La nuit est tombée. Victor n'a pas bougé d'un pouce. Le voici tout trempé, sentant la pisse, le sperme et les larmes. Pauvre Victor. Il s'imagine, d'ores et déjà, être la risée de tout son village. Comment va-t-il trouver une vache, une épouse maintenant... Que va dire Maman Hortense ? Telles sont les pensées qui obsèdent notre piteux Victor, veau crotté.
L'heure tourne. La lune pointe son nez. Victor a froid. Au loin, un cliquetis se fait entendre. Victor se lève, coiffe son chapeau et remet son slip (Kangourou). Victor se tient droit comme un "I" (Avec des cornes). Il essaye d'avoir l'air honnête, noble et presque courageux.
Au bout de quelques minutes, moult "clic" et moult "clac", apparaît une machine infernale : un mastodonte de métal, tout en boulons, monté sur des chenilles. "Un vrai char d'assaut", se dit Victor, veau pensant et fort (Très fort) dévot. Une petite prière pour le Seigneur bovin ("Faites, Seigneur aux cornes toutes puissantes, que ce truc ne me voit pas !") plus tard (Les secondes passent), la machine s'approche... Dieu, tout à ses couilles perdues, ne répond pas.
De plus près, Victor trouve l'engin moins menaçant. Il a beau faire 7,32 mètres de haut ("Très précisément", calcule Victor), il ressemble, avec ses belles bacchantes de métal et ses binocles dorées, au vieux Papy de Victor. L'être, dans un grincement, ouvre la bouche et se met à parler : "Je suis Ordino. L'homme machine. Le messager de la lune. Grand mécanicien sélénite et cybernaute sans âge. Clac !" (Gulp ! Victor est impressionné) "Que faites-vous ici manant au slip sale et au chapeau troué ? Comment osez-vous paraître ainsi vêtu devant Notre Déesse Mère, j'ai nommé La Lune ? Grrrrr ! Clic !". Un silence... Victor balbutie sa réponse : "Mon chapeau l'est troué parce que j'ai des cornes. J'suis un veau. Rien qu'un veau". "Cornediou ! Clic ! Clac !", rugit Ordino... Les chenilles vrombissent. De la fumée sort par les oreilles d'Ordino. Un bras articulé muni d'une pince à sucre géante sort du ventre d'Ordino et se saisit de Victor.
Voilà notre veau, toujours aussi dévot et un peu moins masturbateur, transporté dans les airs. Ordino inflige au corps du pauvre veau un terrible mouvement de balancier. Et un ! A gauche. Et deux ! A droite. Et trois ! Victor est propulsé dans les airs, direction la Lune.
"Oh ! Ah ! Oh ! La grande bleue ! Aïe ! La grosse verte ! Huuuuum ! La voie lactée (Et tendre pensée pour Maman Hortense) !", s'exclame Victor, émerveillé. Les étoiles scintillent et semblent saluer le passage de notre cosmoveau (Ou astroveau, ou spatioveau). L'astre lunaire se rapproche... Dangereusement... Il emplit bientôt le champ de vision de Victor. Stella Maris. Beauté...
Crash ! Boum ! Hue ! Alunissage... Victor devient le premier veau sur la Lune (Un petit pas pour Victor ! Un grand pas pour la bovinité). Et sur la Lune... Il fait froid. Victor s'évanoui.
Histoire de (Vous ?) prouver que moi aussi je m'intéresse à l'actualité... Vu sur le site de TF1 (Par égard pour votre cerveau, je ne vous mets pas le lien) :
"Derrick et Patricia Cogan s'apprêtaient à partir pour une semaine de vacances avec leur caravane lorsqu'ils ont reçu un coup de téléphone du propriétaire du terrain sur lequel était stationnée leur caravane. "Votre caravane a été heurtée par une vache volant à basse altitude", a-t-il simplement indiqué.
Leur caravane était garée dans une carrière désaffectée de Berrynarbor, dans le sud-ouest de l’Angleterre, en contrebas d'un pâturage. Une vache un peu trop curieuse s’est approchée du bord. Et ce qui devait arriver, arriva... La vache maladroite a fait un vol plané de dix mètres avant d’atterrir sur la caravane.
La compagnie d'assurances, dont le directeur commercial a affirmé n'avoir jamais traité un cas semblable, s'est engagée à couvrir les frais de réparation du véhicule. L'état de santé de la vache n'est pas connu."
Pour moi, il s'agit d'une vache suicidaire. Il aurait pu s'agir d'un mouton... Effet Panurge et délire Made In Monty Python garanti !
Note à mes détracteurs nombreux, variés et malheureusement inconnus (Sinon c'est "Pan ! Dans ta gueule !") : je ne vais pas au "clavail" mais au travail ! Il est vrai que j'ai beaucoup écrit cette semaine ("Ecrit" et pas bloguer... Ou blogger) mais, aujourd'hui (Par exemple) :
- De 8h55 à 9h30 j'ai blogué puis envoyé quelques mails et un SMS.
- Aux alentours de 11h00 j'ai dû télécharger (à la demande de mes collègues... Qui cherchent toujours la chanson de Mary Poppins en français. Si quelqu'un me la trouve d'ici ce soir... Ce serait vachement sympathique) le morceau qui charme vos oreilles.
- A 12h00 j'ai re-blogué et mis en ligne le morceau sus-cité.
- A 12h45 pause déjeuner...
- A 14h15 (Heure officielle de reprise du travail), comme mon chef n'est pas encore rentré, je blogue un peu (Comme vous pouvez le constater).
Le reste du temps, je travaille... Soit a peu près 6h48 de travail sur 7h48 de présence (Quotidienne) au bureau. Un ratio pas si mauvais que ça (Et je ne discute jamais devant la machine à café) ?
Si votre ordinateur est muni d'une carte son (Et d'une paire d'enceintes en état de marche) vous écoutez actuellement mon petit bonheur du jour (Que vous pouvez retrouver ICI). Enjoy (Il paraît que c'est un peu long à charger) ! Je vous aime...
Avis à la population : si ce soir (Vers 20h00), vous ne savez pas quoi faire et n'êtes pas allergiques au punk, je vous conseille de ramenez vos portugaises (Pas ensablées) du coté de Ménilmontant... Plus précisément à la Cantada (13, Rue Moret) où se produisent, à 20h00 (CQFD), les Defenestrors suivis du Punk Club de Eric Débris. Et toc !
Ce matin (Comme hier matin et, je l'espère, demain matin) j'écris. J'écris pour elle (Un haïku) et pour vous (HISTOIRE DE VEAU - Episode 5... L'épisode 3 sera publié samedi 13/09/2003 sur ce site, dans ce journal). Bref, tout ce que je ne fais pas en vacances... Grand merci à mon employeur pour ces quelques instants de liberté (Payés) qu'il m'accorde.
D'aucuns pourraient croire que je ne fous rien... Et bien non ! J'écris... Mais pas sur mon blog (Ce site, ce truc... Que je vais, à partir de maintenant, appeler journal... Histoire de pas être à la mode). J'écris pour moi, j'écris pour lui. J'aime écrire même si je ne me crois pas spécialement doué (Sans fausse modestie). J'ai un style : c'est sûr... Pour le reste...
Avis à la population : je cherche une vie (Maison + Boulot. J'ai déjà le reste...) à Lille (Ou en proche banlieue). Quelqu'un aurait-il ça ?
Moment érotique 6 : "La pendule de l'entrée s'est arrêtée sur midi à ce moment très précis où tu m'as dit "je vais partir", et puis tu es partie. J'ai cherché le repos, j'ai vécu comme un robot, mais aucune autre n'est venue remonter ma vie" (N. Skorsky/J.P. Bourtayre-N. Skorsky). Embrasser Miss Bescherelle, un bonbon Krema dans la bouche.
J'aime les questionnaires. La preuve (Merci Miss M pour votre collaboration) :
1. Parce que vous préférez les alligators ou les poissons rouges ? Les Wally Gators parce qu'Hanna-Barbera. Na !
2. Vous pensez plutôt que la Terre est ronde ? Pluto ne pense pas parce que Disney (Cohérence quand tu nous tiens). La terre est plate comme une orange ou bleue comme un rhume des foins.
3. Vous croyez en une fin du monde imminente ? Oui : ça se chiffre en jours (600 000 000 jours environ).
4. Et s'il y a un jour en moins dans l'année ça vous perturbe ? Réaction politique : s'agit-il d'un jour ouvrable ?
5. C'est quoi votre plus vieux souvenir ? L'appartement miteux de ma grand-mère. Comme quoi les jolies choses... On s'en souvient toujours.
6. Vous avez parfois l'impression qu'il y a des asticots dans votre cerveau ? Un asticot : non. Du camembert : oui. En ce moment, j'ai comme l'impression qu'un asticot se love dans mes entrailles.
7. Vous aimeriez être un hamster ? Oui pour être enterré dans le jardin de mes parents.
8. Vous pensez qu'il est plus logique d'accorder de l'individualité à une brosse à cheveux ou à un stylo ? Je ne fréquente que les stylos.
9. Vous espérez encore ? L'espoir fait vivre. Et toc !
10. Vous pensez que l'on peut croire ? Tout est possible... Surtout l'impossible (De l'Art de dire des conneries).
11. Vous préféreriez vivre en Alaska pour la survie des ours blancs, ou sur une île déserte au soleil avec seulement un tome en espagnol de Don Quichotte ? Faire du Don Quichottisme, aller tabasser les ours blancs à vent (En particulier ceux qui se prennent pour des moulins).
12. Vous avez déjà mangé des sardines avec de la compote de pommes ? Des saucisses (Knackis) avec de la crème vanille et des petits pois au Benco.
13. En plus, vous préférez une collection de cinq mille timbres, ou un monde avec deux soleils ? Qu'entendez-vous exactement par timbre ? Un simple timbre imprégné de LSD devrait me permettre de voir 1000 soleils... Alors ?
14. Si Dieu vous demandait "Pourquoi ?", vous répondriez quoi ? Qu'il arrête de se prendre pour Oliver Stone.
15. Vous avez déjà eu envie de manger une limace ? Oui (Mais qu'entendez-vous exactement par limace ?).
16. Vous préférez les chiens ? Les Michel Drucker à poil ras.
17. Parce que qu'est-ce que vous pensez des salles de cinéma vides ? Que, par définition, je n'y vais pas (Une salle de cinéma où je suis n'est plus vide. CQFD). Donc RAS.
18. Et puis c'est quoi votre mot préféré ? Moi.
19. Seriez-vous pour la peine de mort des Yorkshire ? S'il s'appelle Bush pourquoi pas.
20. Est-ce que vous admirez les bananes plus que vous n'aimez Eschyle? S'agit-il d'une hirondelle africaine (Pour plus de précision cliquez ICI )?
21. Vous avez déjà douté de l'existence des vaches ? Ma mère est une vache. Je l'aime.
22. Vous pensez souvent aux autres ? Bien sur puisqu'ils pensent à moi.
23. Pourriez-vous faire de l'anecdote la plus insignifiante de votre vie votre souvenir le plus précieux ? Question con. Seule compte la futilité... Le reste n'est qu'accessoire... Et la boucle est bouclée. Soyons relatifs !
24. Vous avez déjà pensé que si la Terre était plate, on n'en tomberait pas, parce qu'il y aurait l'apesanteur ? Et si elle était ronde ?
25. Et ces viscères qui se transforment en fleurs, ça vous évoque quoi ? William S. Burroughs.
26. Vous préférez le carrelage ou la moquette ? La moquette parce que c'est chaud et que (Parfois) ça pue. Avez-vous l'esprit mal placé ?
27. Les sonneries d'horloges, ça vous agace ? Non. Ca me réveille.
28. Vous avez déjà essayé de démonter un rubicub ? Non. Mais moi j'ai toujours dit Rubik's Cub... Bon ! Il faudra chercher...
29. Qu'est-ce que vous pensez de l'existence des extraterrestres ? J'aime beaucoup la Twilight Zone ("To Serve Man").
30. Vous avez déjà rêvé d'un champ d'asperges géantes ? Non mais d'une vinaigrette gargantuesque.
31. Qu'est-ce que vous pensez des escaliers ? Qu'au moins eux ils ne se démontent jamais ("Prends-en de la graine mon fils !"). Mon cerveau se fait stupide.
32. Vous aimez mieux les ampoules ou vous préféreriez être américain ? Cf. question 19.
33. Vous préféreriez vivre sous l'eau ou sous la terre ? Sous la terre parce que j'aime les Hortas.
34. Parce que vous croyez que si on était dans un nuage qui fait de la pluie, on serait mouillé ? Et l'apesanteur ou... La pesanteur (Cf. question 24) ?
35. Vous avez déjà imaginé que vous étiez le seul être humain sur Terre, entouré d'extraterrestres déguisés pour mieux vous étudier ? Et alors ? J'adore les poulets.
36. Vous aimeriez mieux boire trois litres d'eau d'un trait ou être une toupie ? Je ne savais qu'il y avait de l'eau dans un trait. 3 litres ? Mazette... Il faudrait développer la vente de crayons dans les pays du tiers-monde.
37. Est-ce que ça vous dérange la pluie ou est-ce que vous voudriez être une tulipe ? S'agit-il d'une condition sine qua none ? Une belle tulipe du désert adepte de la danse du voile je veux être.
38. Parce que pour vous, la vie, c'est plutôt du funambulisme, ou du théâtre ? Du théâtre. CQFD.
39. Vous pensez qu'il est plus probable de trouver une chevache ou un vacheval ? Une chevache africaine (Cf. question 20).
40. Vous avez déjà écrit des lettres à Dieu ? M'écrire ? Tsssss... Je ne suis pas si narcissique.
41. Est-ce que vous savez ce que signifie " croire en soi " ? Cf. question 40.
42. Vous pensez que vous pensez bien ? "Le seul absolu dans cette chienne de vie c'est que tout est relatif" (Il fallait absolument que je la place celle-là).
43. Vous aimeriez mieux être une baleine ou considérer que l'escargot est le seul être qui mérite de vivre ? L'un n'empêche pas l'autre. Je mange mes yaourts avec les doigts.
44. Vous croyez en l'objectivité ? A l'imparfait de l'objectif, j'attrape souvent une subjonctivite.
45. Vous aimeriez bien que j'arrête de poser des questions ? Parce que ce sont des questions ? Je le note...
46. Demain, c'est un autre jour, pour vous, ou c'est une continuation de Maintenant ? Maintenant existe-t-il ?
47. Est-ce que le temps et l'espace sont la même chose ? Espace, frontière de l'infini vers laquelle... Et si Stephen Hawking était hermaphrodite ?
48. Vous préférez les blondes ou alors vous aimez mieux les yorkshires ? Tout dépend de la taille de leur anus.
49. Parce que vous pensez que vous préférez les nénuphars ou la vieille dame dans Babar ? Les mangeurs de nénuphars.
50. Vous avez déjà pensé que Dieu et le père Noël étaient peut-être la même personne ? Non puisque je sais que c'est moi. Quoi qu'à une époque j'ai pu penser que le Père Noël était mon père. D'autres questions ?
Les 24 Heures de Brussel... Non ! Ce n'est pas une nouvelle course automobile... Encore moins un concours de danse ("On achève bien les chevaux"). C'est un week-end, un extrait de vie, ma vie. J'aime Brussel (Sous le soleil) : ville laide et douce (Calme ?) au charme fou.
Dieu est avec nous, le Manneken-Pis aussi... Petit bonhommme de bronze à la barbe blanche. Pisser c'est aimer (C'est intime). Dieu est amour. Suis-je agnostique ?
Se relire consciencieusement (Comme en apesanteur), chercher un disque, boire une bière, se payer l'Enterprise. Sentiments confus... Journée sans soucis où l'argent est roi (Consommez !).
ADAM N'avez-vous jamais contemplé une couille ? Non ? Et bien Victor peut, à loisir et pour sa plus grande honte, en contempler deux ! Deux fières couilles de Dieu ; compagnons de voyage par intérim de notre bon Victor, veau ailé et fort dévot. Et il vient à Victor, comme à tout bon contemplateur de couilles qui se respecte, de drôles d'envies... Le voilà qui se met à fourrager furieusement dans son slip à la recherche de son joli flûtiau, instrument de plaisir à coulisse qu'il convient de manier à une ou deux mains. "Hum ! Rien qu'à contempler ces couilles je sens poindre l'érection !", se dit notre veau fort dévot, "Ca vaut bien la vision d'une vache Made In Playcow ! Un Pater et je m'astique !". Et, ceci étant dit, Victor se met à genou, le slip sur les chevilles et la bite à l'air. Il récite, à toute allure (Mais avec la plus grande des fois), un "Notre Père le Taureau ailé aux oreilles percées" et Zoom ! Zip ! Masturbation ! Rapido ? Presto !
Les couilles de Notre Père s'en sont évidemment aperçues et, en bons compagnons, se mettent à effectuer une ronde nuptiale autour de Victor, veau pieux, prostré au milieu de la chaussée.
S'en vient à passer Adam, l'homme nu (Mis à part la jolie feuille de vigne qui recouvre ses parties intimes). Adam, tout père de l'humanité qu'il est, n'en à pas moins un braquemart micro - (Nano ?) - scopique. Difficile de la contenter, sa Eve, avec un si petit appendice ! La chienne (Excusez-nous Mesdames) en redemande et s'en va voir, avec constance et fréquence, son amant le serpent. Jaloux qu'il est le Adam ! Doublement jaloux, devrions-nous écrire, puisque, non content de jalouser le serpent, le voilà qui jalouse les deux superbes couilles danseuses qui virevoltent autour de Victor, branleur fort dévot.
Adam écume. Il lui faut les deux testicules mystiques. Il claque des doigts et, dans sa main gauche (La main de la haine - Hate), se matérialise un filet aux mailles étroites. Il reclaque des doigts et, devant lui, un gourdin (Sorte de vibromasseur géant) se matérialise. Adam, de la main droite (La main de l'amour - Love), s'en saisi. Nanti de ces deux armes, il se met à courir, à charger, en direction des deux couilles joyeuses. Celles-ci, toutes à leur farandole, ne le voient pas venir. Victor, à deux doigts de l'éjaculation, non plus...
Carnage affreux. Adam frappe la première couille. Kaboum... Splosh ! (Nos lecteurs de sexe masculins sont invités à ne pas lire la suite de notre histoire sous peine d'affreuses et fantasmatiques douleurs dans le bas ventre). Celle-ci est à terre. Elle se tord de douleur. Sa soeurette, sous le choc, se met à vociférer, à gueuler et à barrir. Victor éjacule. Plaisir et consternation : il se sent tout nigaud face à cet homme enragé et nu (Mis à part la jolie feuille de vigne qui recouvre ses parties intimes). Le massacre continue. Adam s'en prend à la deuxième couille et fait vibrer son terrible gourdin. Wizzzzz ! La gonade est touchée. Elle s'en va rejoindre sa soeurette étendue de tout son rond sur l'asphalte. Adam se jette sur ses proies, le filet en avant, grand ouvert. Victor, veau fort dévot mais piètre aventurier, se cache au plus profond de son slip et se met à pisser... Pauvre hère.
Les couilles sont attrapées, ficelées. Adam sourit comme un dément. De son gourdin il menace notre bon Victor, faible veau fort dévot. Il se saisit de son filet de couilles, fait volte-face et s'enfuit à toutes enjambées au son de "Eve ! J't'encule !".
L'Etrange Festival - Salle 300 - Le 04/09/2003 - 20h00 : diffusion du cultissime (Ah bon ?) nanard* (Ah ! D'accord...) "Le Bal du Vaudou" aka "Clockwork Terror" aka "Murders in a Blue World" aka "To Love, Perhaps to Die" aka "Una Gota de Sangre Para Morir Amando" de Eloy De La Iglesia (1973).
Présenté comme "L'Orange Mécanique Espagnol", "Le Bal du Vaudou" est un hommage (Raté) d'Eloy De La Iglesia à Stanley Kubrick (Les références au maître sont nombreuses... A commencer par la présence de Sue Lyon - La Lolita de Kubrick - dans le rôle d'Anne, l'infirmière au grand coeur... Couic !). Dixit "Monsieur Etrange Festival", c'est, primo, un film de producteur... OK. Les scènes inutiles sont nombreuses et la scène de poursuite (Un buggy versus une moto) tout à fait affligeante (Hum ! La beauté des cascades !)... Secundo, personne ne s'entendait sur le tournage (Chris Mitchum ne parlait pas à Eloy De La Iglesia, Sue Lyon etait une chieuse)... Tertio, même Eloy De la Iglesia ne voulait pas que le film soit projeté... Alors, en quoi ce film est-il culte ? Hum... Pour moi, ce film est une expérience... Imaginez-vous en train de regarder les Télétubbies revus et corrigés par Stanley Kubrick qui, dans un moment d'inspiration, décide de faire ressembler son film à ces vieux documentaires que l'on diffuse en cours de biologie (Souvenez-vous !). Vous y êtes ? Rajoutez-y deux ou trois nuits blanches, un soupçon de film d'horreur Made In 70's et vous aurez une vague idée de mon état post-projection. GRANDIOSE (Et culte) ! Bref, "Le Bal du Vaudou" est rediffusé le 08/09/2003 à 17h45... Vous savez ce qu'il vous reste à faire...
Lisez la critique (En anglais) de "Murder in a Blue World" ICI (Après tout je ne vous ai rien dit du film).
Un site à découvrir :
* : mais qu'est-ce qu'un nanard ? Nanard : n m. [Argot] Syn. de tacot. Une vieille machine, qui est ridicule par rapport aux machines contemporaines, mais on l'aime bien quand même... (Avec dans le rôle de la machine contemporaine "Orange Mécanique" de Stanley Kubrick).
Note à moi-même : il faut réparer le système de commentaire (Cliquer sur "REACTION ?(X)" ne sert à rien... Pour le moment !).
Une fille rousse, chaussée de sandales, mange une pomme. Elle marche. Fonctionne. Ce midi, je suis pas sorti... Agoraphobie ? L'intimité est un vilain défaut. Blog this !
Drame ? Satire sociale ? Conte... Hier soir (18h00), j'ai vu "Call Girls" aka "Bounce KoGals" aka "Leaving" (Couleur, 35mm, 106m, 1997) de Masato Harada. Un bon film (J'y reviendrai plus tard - Watch out ! - Je manque de temps ce midi).
(En anglais. Sorry Folks !) - Lisez ICI la (Meilleure ? En tout cas reprise sur trois sites web) critique de "Bounce KoGals".
(En anglais. Sorry Folks 2 !) - Cette analyse sociologique de "Bounce KoGals" me parait tout à fait juste : Bounce KoGals explores the world of enjô kôsai, the practice by urban high-school girls of selling sexual favors in varying degrees to secure the pocket money needed to maintain consumption practices that became habit during the years of the Bubble economy in the 1980's. Subject of a media panic on the "state of our youth," the breakdown of the family and complicity of adults in the mid-1990's, Harada sets aside the sociological dimension to seek the personal pain and dreams and ambition behind this practice, which explored with an alarming thoroughness the logic of commodification by which the prosperity of advanced capitalist society is built. Alors ? Réaction ?
Vu en soirée (22h15), un Russ Meyer jouissif (Et moral... Dixit l'épilogue du film !): BEYOND THE VALLEY OF THE DOLLS aka LA VALLEE DES PLAISIRS (FR) aka HOLLYWOOD VIXENS (FR) aka HOLLYWOOD VIXENS AU LAIT ! (FR) aka ORGISSIMO (FR), aka LA VALLEE DES DEBAUCHES (BG), aka BLUMEN OHNE DUFT (GR), aka LUNGO LA VALLE DELLE BAMBOLE (IT) (1970). La scène finale (Qui mêle, sexe, sang, néo-nazi et super héroïne shakespearienne... Sans rire !) est une pure merveille Made In Russ Meyer's Mondo (Topless ?).
Depuis quelques temps, je fais attention à mon orthographe, blog oblige (A ce propos, merci Miss Bescherelle pour la relecture systématique de mes posts). D'où, question métaphysique et grammaticale : faut-il mettre un "-" entre "Regardons" et "Le" lorsqu'on écrit "Regardons-le" ? Personnellement, je n'avais pas d'avis (Quoi que)... Réponse d'un(e) professeur de français :
"Regardons-le" est la bonne écriture. En effet le verbe est à l'impératif affirmatif. A l'impératif négatif, on écris "ne le regardons pas".
Vous noterez qu'elle écrit "On écris" avec un "s"... Comme quoi nul n'est prophète en son pays... Et toc ! Je crois que je viens de gagner un café.
Ah ! Quelle belle matinée ! Un petit vent frais nous vient de Belgique (Hum ! Cela fait du bien... Merci Miss I) et je peux maintenant dire "Pendant trois semaines, j'ai été moustachu !". Joie et bonheur dans les familles. That's life !
Si ce soir, l'envie de danser vous prend... Une seule adresse : dans mon garage !
Ce soir je n'irai pas voir "The Streetfighter" avec Sonny Chiba. Je suis trop fatigué pour me battre.
Too Drunk to Fuck - Jello Biafra
Went to a party
I danced all night
I drank 16 beers
And I started up a fight
But now I'm jaded
You're out of luck
I'm rolling down the stairs
Too drunk to fuck
Too drunk to fuck
Too drunk to fuck
Too drunk
To fuck
I'm too drunk, too drunk, too drunk
To fuck
I like your stories
I like your gun
Shooting out cop tires
Sounds like loads and loads of fun
But in my room
Wish you were dead
You ball like the baby
In Eraserhead
Too drunk to fuck
Too drunk to fuck
Too drunk
To fuck
It's all I need right now
Too drunk to fuck
Too drunk to fuck
Too drunk to fuck
Too drunk
To fuck
I'm sick soft gooey and cold
Too drunk to fuck
I'm about to drop
My head's a mess
The only salvation is
I'll never see you again
You give me head
It makes it worse
Take out your fuckin' retainer
Put it in your purse
Too drunk to fuck
You're too drunk to fuck
Too drunk
To fuck
It's all I need right now Oh baby
I'm melting like an ice cream bar
Oh baby
And now I got diarrhea
Too drunk to fuck
Yeah, Yeah
Yeah, Yeah
Yeah, Yeah
Oooohhh...
Un QUATRE HEURE ordinaire sur la terre (Spéciale dédicace)...
- Café (Lavazza). Ne pas oublier de vérifier le niveau d'eau avant d'actionner la machine à café (Et toc une pichenette dans la fucking machine !). - Gâteaux (P'tit Gourmand, ex-Prince, de LU). - Faire trempette (Sweet moment... Very sweet moment). - Private joke. - Attendre 18h30... Tranquillement.
Hier soir, j'ai ouvert (Avec 6 jours de retard) mon Etrange Festival - Onzième Edition. Premier film vu : une petite merveille "Pop" (Autant dire un film de série B des années 60) intitulée "Danger, Diabolik" dans le cadre de "La soirée des Inrockuptibles".
Ce film, signé Mario Bava (Excusez du peu...), est inspiré de la bande dessinée Diabolik. L'esthétique s'en ressent : le repaire de Diabolik est un summum du kitsch, la gestuelle des "héros" est sublimement syncopée (Car tournée en 18 images/seconde), les costumes sont psychédéliquement 60's et les acteurs génialement caricaturaux (Ouf ! Que de superlatifs !). Personnellement, j'y vois un croisement entre "The Avengers" et "Austin Powers". Une hybridation plus que recommandable. Pour plus de détails sur le film (Que je ne vous donne pas, faute de temps), je vous recommande le site d'un certain Scopia.
Histoire de jouer les franchouillards (Béret, baquette, cocorico... Super Dupont), je vous signale la présence, dans "Danger, Diabolik", de Michel Piccoli dans le rôle de l'inspecteur Ginko.
La soirée en elle-même était assez "People" (Soirée Inrockuptibles oblige). Pas mal de réalisateurs (Marc Caro, Christophe Gans...) et de journalistes présents. Le public est venu en masse (i.e. : nombre de places vendues + invitations > nombre de sièges disponibles). Comme quoi un film de série B n'ayant eu qu'un faible succès lors de sa sortie en salle peut devenir "Culte" et populaire (?).
Le débat post-projection avec John Phillip Law (Diabolik) s'est révélé (Comme la plupart des débats de ce type) insipide. No comment.
Ce matin, sur le mur d'une église, j'ai lu : "Dieu, c'est pour la vie !". Et tout de suite, j'ai pensé : "Si tu t'convertis, t'en prends pour perpét' !". Comme quoi, j'ai l'esprit qui tourne en carré... Ou bien encore "Dieu et le tatouage : même combat !". Ce qui nous donne le beau slogan suivant : "Believe in God : get tattooed !". United connerie of the world... Je vous aime (Dieu est Amour !).
